top of page

L'ALGERIE FRANÇAISE

5 JUILLET 1962

genocide 5 juillet oran.png

genocide a oran

Depuis le vote de l'indépendance de l'Algérie, c'est la liesse parmi les Algériens, camions, voitures, groupes à pied défilent, les "youyous" , les cris de joie, résonnent dans les rues, c'est la liesse ! La paix a été proclamée depuis trois mois, malgré cela des groupes armées sont présents et ne sont certainement pas là pour partager la joie de tous. Nous allons très vite nous rendre compte de leur présence et surtout de la raison qui les pousse à être armés trois mois après les accords d'Evian !

 

Le 5 juillet de l'année 1962, la radio diffuse un message ordonné par un gouvernement fantoche représentant  la hiérarchie du FLN, disant que le travail doit être repris, ainsi que les magasins et bureaux doivent séance tenante, être ré-ouverts. Rappelons pour ce qui va suivre...L'OAS a quitté l'Algérie depuis le 3 juillet , nous sommes le 5, il n'y a donc plus de possibilités que celle-ci intervienne, or, à 11 h00, un coup de feu éclate et l'on entend "C'est l'OAS! c'est l'OAS qui nous tire dessus ! ",

 

Ce cri perçant et mensonger, tout comme le 26 mars à Alger, sera l'excuse pour envenimer la situation ! Bien sûr que ce cri était le signal, pour ces assoiffés de sang ! Si l'OAS n'est plus présente, reste encore l'armée française commandée par le général Katz, "le boucher d'Oran", qui, se rendant compte de l'ampleur de la situation, et qui très vite s'enflamme, malgré tout, téléphonera au grand Charles, son maître, lui précisant qu'un carnage est sur le point de poindre et demandera l'autorisation d'intervenir, ce à quoi il lui sera répondu:

" Surtout ne bougez pas !"

 

Katz et ses 18000 soldats encore sur place en Algérie, se limitera à survoler la ville, contemplant les méfaits criminels de groupe d'enragés ! Personne donc ne bougera, les ordres étant les ordres ! Si pourtant personne ne bouge, tous connaissent à cet instant la gravité de la situation, tous savent que des Français vont mourir sauvagement assassinés et le silence malgré tout continuera à régner !

 

Je m'adresse à toutes ces gens présentes ce jour là, à, vous qui êtes retournés dans vos foyers racontant ou non vos exploits...aviez-vous la force de vous tenir devant votre glace et aujourd'hui encore pour ceux qui restent, ce souvenir ne vous a pas effleuré durant toute votre vie? Pourtant vous savez que pour nous pieds-noirs qui ré-écrivons l'histoire via nos sites, via les livres, vous n'êtes à nos yeux que des lâches ! Maudits soyez-vous ! 

 

Rappelez-vous que l'autorité du chef et l'obéissance du subordonné ne sont pas absolues. Elles sont limitées par le respect du droit et des lois de la guerre». 

La chasse à l'Européen est ouverte dans Oran et ses quartiers, Des sauvages, candidtas à l'ATO (Auxillaires de l'armée algérienne) vont alors faire prisonniers tous ces Français d'Algérie en longs cortèges, les conduisant au Petit Lac, ou vers la Ville Nouvelle. Mais il y aura cependant  de belles âmes et je les remercie qui délivreront quelques prisonniers. Pour les autres, ils se lanceront dans une tuerie inhumaine... Tandis déjà que des cadavres restent exposés aux yeux de tous, la gendarmerie française se montre dans les rues de la ville...un spectacle odieux défile suivant leur avancée...des hommes , des femmes sont pendus accrochés à des esses de boucher, des cadavres immergent des poubelles et nous ne sommes qu'aux premiers balbutiements de cette foule sanguinaire, le Petit Lac de Oran,  offrant cette fois  ce que jamais personne d'humain n'aurait pu imaginer ! Ces gens l'ont fait, ces gens sans doute sont venus en France y habiter gardant le secret de leur ignoble travail! Comment peut-on oublier et comme pardonner quand la plupart des ces tueurs sont incapables de se repentir, ou de parler de ce qu'ils ont fait ?

Le " Petit Lac ", lieu du génocide du 5 juillet 1962, se situait à l'extérieur de la ville de Oran, où vivaient les arabes. Ce n'était pas un lac où chacun pouvait s'y baigner et se laisser aller aux joies de la baignade, c'était plutôt une décharge, un dépotoir où aucun Européen ne s'y risquait depuis plus d'une année. Pendant ce temps, à l'abri des regards, le FLN avait ordonné la construction de camps, sans doute pour y amener les européens ce 5 juillet 1962, qui tout au long de leur périple voyaient et entendaient les avions de l'armée française espérant que ces derniers allaient les sauver. Non! il n'en était nullement question ! De Gaulle avait donné ses ordres et ils étaient de ne pas bouger!

Un autre camp tout proche de celui où étaient retenus les prisonniers, comptait encore  des éléments de l'armée française. Au matin, lever des couleurs et le clairon retentissait jusqu'au camp de prisonniers, qui encore espéraient une petite lueur, mais en vain, les soldats n'intervenaient pas, ces mêmes soldats qui eux ne pouvaient que par la proximité ne pouvaient que percevoir à leur tour, les gémissements, les pleurs, les cris du camp voisin.

genocide 5 juillet oran62.png

Le Monde ce journal infâme à la solde tous les gouvernements affichait à la Une, le 7 juillet : " Une trentaine de personnes tuées au cours des incidents de jeudi" puis à la page suivante l'enfoiré de journaliste passait au conditionnel présent et cette fois écrivit... "La fusillade d'Oran aurait fait plus de trente morts sans même parler des blessés et de la façon dont les gens ont été tués ! Comment peut-on mentir à ce point et être référencé parmi les grands médias ? A croire que les grands médias ont tous des langues de vipère.

 

La radio cependant émettait un message du préfet de Oran, M. Souiah qui déclarait:" Nous ne pouvons tolérer de pareils actes criminels à un moment où il est demandé une mobilisation générale de toutes les énergies saines". La veille un message  de ce dernier annonçait qu'il portait toute la responsabilité de ces actes sur les organisateurs , et donna l'ordre de désarmer les forcenés. Le boucher d'Oran écumait, rageait, Les médias corrompus avaient fait le travail tel que la France voulait qu'il soit, Le cri lancé par un des assassins "C"est l'OAS qui a tiré", aurait pu retourner l'opinion public tant chez les Européens que chez les Maghrébins, mais beaucoup n'étaient pas dupes, ils avaient compris que tout ce qui avait été joué dans cette guerre meurtrière et ces derniers crimes à Alger et Oran étaient, l'oeuvre façonnée du gouvernement français et du FLN,

 

Ce même FLN qui ne s'est jamais soucié du peuple! Combien d'hommes et de femmes pris dans les douars pour les enrôler définitivement au sein de cette armée ont été massacrés, suppliciés, avant d'accepter par dépit de s'engager dans cette guerre ?, 

Aujourd'hui, qu'est devenue l'Algérie qui de nouveau a été trahie ! Les petits chefs d'hier ont construit leur cheptel , ignorant une fois encore la population.

 

Le journal "Le Monde" avait menti jadis tel qu'il en a l'habitude encore aujourd'hui ! Dans l'Echo d' Oran du 9 juillet le directeur du centre hospitalier d'Oran avait déjà reçu 101 corps européens destinés à la morgue et 145 blessés. Le Monde était bien loin de ce qu'il avait titré, mais ce n'est pas cela qui les empêchèrent de dormir. Pourtant il faudra un  jour que ces langues de vipères payent tout le mal qu'ils ont fait, ils ont été complices du génocide ainsi que la plupart de leurs confrères !

Le Bachagha Boualem Saîd, surnommé le traître par le FLN et une majorité d'Algériens ! Aujourd'hui, diraient-ils encore qu'il était un traître? Il suffit de regarder son pendant de médailles pour comprendre l'homme et le combattant qu'il était beaucoup devraient se regarder dans un miroir et lui poser la question,

"Suis-je beau"? Suis-je vraiment celui que je parais être?

Bachagha  Boualem Saïd.png

Internet reste la source dans laquelle il nous est permis de puiser les renseignements qui contribueront à l'lélaboration de celui ou celle qui crée un site. Hélas il est de plus en plus difficile de trouver ces derniers quand Google classe tous les médias dans ses premières pages, il suffit de regarder l'une d'elles pour se rendre compte  que tous les médias usent de copie collé dans tous leurs métas données.

 

Alors tu cherches...mais si google a décidé de collaborer avec des menteurs, tu ne trouves rien ! En l'occurence concernant le 5 juillet 1962 qui est encore chasse gardée du gouvernement français, celui-là même qui protège les ignominies, les crimes contre l'humanité de celui qu'il adule depuis la Vème république !

 

La roue tourne, les premiers seront les derniers et vice et versa, les gouvernements en totalité auront à répondre de leurs crimes et toutes les lois votées seront abolies d'ici peu !

Le peuple enfin redeviendra souverain !

bahaga boualem saîd.png
logopi10.gif
logopi10.gif
bottom of page